Éthologies de l’humain, poésie anarco-visceraliste, sciences, philosophie et autres troubles théorico-physiques. Asinamali n’est rien d’autre qu’une excroissance naturelle et organique, un moyen choisi pour dessiner les contours d’une trace où nous n’avons pas encore mis nos pieds, un chemin tortueux où la chasse se transforme en jeu, un système homéostatique précaire où les mots, tels l’oxygène et les protéines, ne servent à rien d’autre qu’à augmenter constamment le niveau d’entropie, un mécanisme complexe où les livres deviennent des sentiers où faire meute et respirer.

Asinamali est l’envie d’empêcher au discours unique d’affecter nos « manières de faire des mondes » ; elle est aussi une chanson composée par Tumi and the Volume et publiée dans l’album Pick a dream en 2010.